Paysages à deux
2020








Un paysage signifié au plus simple de sa forme mais offert par sa lumière à l’espace secret d’une rencontre car ils sont deux au centre de l’arène, aux pieds des hauteurs et des lointains. Et puis ce même paysage au plus simple de sa forme dans une autre lumière, une autre heure, pour un autre secret. Et puis encore d’autres de ces paysages déclinés avec une rencontre jusqu’à nous étonner des effets de l’utilisation de la couleur, à quel point ça creuse la question de la distance entre notre regard et ce qu’il y a à voir. Assez près pour capter mais pas assez pour comprendre. On est arrêté, on voudrait savoir. Alors le suspend nous met en demeure de rêverie.
Il n’y aura pas d’appropriation, pas de carte postale à envoyer.
Catherine Foussadier